Histoires inventées.

Histoires inventées. Un peu nulle. Un peu sortit de ma tête "comme ça".

posté le 17-05-2008 à 13:27:24

2.

Elle s'assoit à coté de sa soeur et commence à tartiner son pain.

-Passe-moi la confiture Léonie, demanda Paoline.

-Bah tu vois pas que j'suis occupée, réponda Léonie.

-Léonie! Ta soeur t'as demandé gentillement pour la confiture alors tu lui passe, dit sa mère.

-Mais Maman tu vois bien que j'étais en train de faire quelque chose! Répondit Léonie.

-LEONIE TU...

-Oui rooh c'est bon enflame toi pas je lui ai donné la confiture, dit Léonie.

-Léonie! Parles mieux à ta mère! Dit son père.

-Mais Papa j'ai rien dit de mal! Répondit Léonie.

-Léonie arrète de répondre tu sais que tu as tord, dit son père.

-Putaiiiin...

-Pardooon!!! Dit son père en colère.

-RIEN! Répondit Léonie. Et elle remonta dans sa chambre en colère.

Mais pourquoi j'ai des parents aussi cons!! Et puis l'ornithorynque qui n'améliore rien, pensa Léonie.

Jusqu'à midi elle resta dans sa chambre, sur son lit. Toc toc toc. Elle ouvre sa porte. C'était l'ornithorynque.

-Qu'est-ce que tu veux? Dit Léonie.

-Je m'ennuie, répond Paoline.

-Rooh mais c'est ta vie, va jouer au barbie et puis voilà.

-Hey j'ai 10 ans, je ne joue plus au barbie, répond Paoline.

-Pff...dit Léonie. Et elle ferme la porte.

Paoline ouvre la porte et elle se pose son le lit à Léonie.

-Hey c'est pas la fête tu sors de ma chambre! Dit Léonie.

-T'étais partit à "ton champs" hier soir?

-De quoi?... Euh, pourquoi tu veux savoir? Répond Léonie.

-On sait très bien que à chaque fois que t'es en colère tu pars là-bas, c'est pour ça que Maman et Papa se sont pas inquiétés pour toi. Ils te connaissent et ils savaient bien que t'allais revenir dans la soirée. Dit Paoline.

-Mais pourquoi tu me dis ça? Dit Léonie.

-Parce que je te connais et je sais que tu voulais qu'on s'inquète pour toi, mais tu sais on s'en fou que tu sois partit hier. Maman a même dit que ça nous fera des vacances, répond Paoline.

-Mais je ne suis pas partit pour vous mais pour moi, et comme ça je ne vois pas ta gueule de babouin qui me suis partout. Et puis même je ne sais pas pourquoi t'es dans ma chambre alors dégage! Dit Léonie.

Elle poussa sa soeur dehors et ferma sa porte à clef.

Ah qu'est-ce qu'elle peut être chiante cette fille pensa léonie. Mais c'était vrai ce qu'elle me disait? Mes parents étaient content quand je partais?

Léonie pensa à sa pendant quelques heures. Elle restait dans sa chambre assise à son burreau en train de faire des dessins. Il était presque 15h et elle n'avait rien mangée depuis ce matin. Elle avait faim, mais elle n'osait pas aller en bas de peur que son père l'engueule. Elle s'ennuyait. Elle pris un sac à dos et elle mit un pantalon et un haut et son journal intime dedans. Elle ouvra sa fenêtre et elle descendit. Elle marcha doucement pour ne pas se faier entendre. Elle passa les buissons et hop elle était sur la route. Elle marcha. Elle se dirigea vers la maison de Julie, sa copine.

Arrivée a sa porte, elle sonne. La porte s'ouvra. Ce n'était pas julie mais sa mère.

-Oui? Ah bonjour Léonie, dit la mère à Julie. Ca va bien? Tu veux surement voir Julie, attends je vais te la chercher.

-Coucou, dit Julie.

-Salut, je te dérange pas? répondit Léonie.

-Nan, nan t'inquiète pas.

-C'est que j'en ai marre je me suis pris la tête avec mon père et je suis partit de la maison et je ne savais pas trop où aller alors j'ai pensé à toi. Dit Léonie, un peu embarrasée.

-Ah mince, dit Julie. Bah vient entre.

-T'es sur je ne dérange pas, dit Léonie.

-Mais nan tu seras toujours la bienvenue, répondit Julie.

Elles montèrent dans la chambre à Julie et Léonie posa son sac.

-Regarde c'est le portrait de mon chat, tu sais pour l'art plastique, dit Julie.

-Oh, il est trop beau, dit Léonie.

Julie avait toujours des meilleures notes que Léonie en art plastique car sa mère était peintre, alors elle l'aidait.

-Léonie! Tu veux manger à la maison? Demanda la mère à Julie.

-Euh bah, jen ne veut pas déranger, répondit Léonie.

-Ne t'inquiète pas, tu ne dérange pas, c'est moi qui te propose, dit la mère a Julie.

-Si ça ne dérange pas, je veux bien, oui. répondit Léonie.

-D'accord, pas de problème, dit la mère à Julie.

-Oh trop bien tu mange chez moi, hihiii. Dit Julie.

-Oui trop, répondit Léonie avec un sourrire.

Elle l'adorait Julie, c'était sa meilleure amie, elle pouvait toujours conter sur elle.

 

[La suite ce soir, ou demain]

 


 
 
posté le 16-05-2008 à 22:02:40

1.

Allongée. Voyant le ciel. L'herbe qui lui gratte le dos.

Elle se lève. Elle regarde autour d'elle. Elle ne voit que ce long champs, interminable et ce beau ciel bleu.

"Elle" est une jeune de fille qui s'apelle Léonie de quinze ans. Elle n'a pas de raison particulière d'être dans ce champs. Mais elle voulait partir, loin. Ayant marre de cet Ornithorynque qui la suivait partout. Marre de ces "vieux" qui lui disait qu'elle n'était jamais assez "grande". C'était ici son refuge. Ici où elle pouvait respirer. C'est un peu une fille "tête en l'air". Une fille qui rêve de sa vie, au lieu de vivre son rêve. Quelqu'un jamais trop sûr d'elle même, souvent en train de se plaindre. Elle avait une famille un peu trop strict et "noble" à son gout. Surtout ses parents, elle les appelait : Mes Bourgeois Pète 'couilles.

Le soleil se couchait, mais elle ne voulait pas rentrer. Elle voulait rester encore un peu pour voir si ses parents s'inquiétaient pour elle. Elle entendait des bruits, elle avait l'impression qu'on la regardait. Elle se sentait de moins en moins en sécurité. Il faisait presque noir. Elle préférait rentrer.

Elle se mit à marcher vers sa maison. Elle avait froid. Elle se retournait toutes les cinq minutes pour voir si quelqu'un la suivait. Elle chantait pour se réconforter. Elle est arrivé sur la route. Ouf, soulagé, encore 600 mètres et elle sera dans son lit tout chaud. Elle pensa soudain, imagine mes parents on laissés la porte de la maison fermé? Ou qu'ils ont appelés la Police? Non c'est pas possible "L'ornithorynque" leurs aurait dit où je suis. Elle le connait ELLE mon refuge.

Arrivée devant chez elle, elle tourne la poignée de la porte... Elle était fermée ! Oh non. Elle comment à s'inquiéter. Elle passe par les buissons pour aller derrière sa maison. Sa fenêtre est ouverte! Elle grimpe le mur en s'aidant des fenêtres et du balcons sur le deuxième étage. Elle pousse la fenêtre ouverte et elle entre. Ouf. Elle la ferme. Elle écoute si elle entend quelqu'un se lever. Non c'est bon. Elle se met en pijama et elle se met au chaud sous ses couvertures. Ah enfin du chaud. Elle ferme ses yeux et elle s'endort.

Un beau matin, un beau soleil. Il y a quelqu'un qui frappe à sa porte. Ses yeux un peu fatigués elle ouvre sa porte. C'était sa mère.

- Il est 10h30, dit sa mère. On t'attends tous pour déjeuner. Passe toi de l'eau sur la figure et descend.

Elle ferma la porte.

Léonie n'eut même pas le temps de dire un mot. Sa mère ne lui a rien dit pour hier soir! Peut-être qu'elle va m'en parler quand on prendra le petit-déjeuner. Oui sûrement, ils ont dû remarquer quand même qu'elle était partit, pensa Léonie en se réconfortant.

Elle descenda. Un peu fatiguée.

- B'jour, dit Léonie à sa famille.

- Ah bah enfin. On t'as attendu depuis 10h ce matin, répondit sa soeur, Paoline (L'ornithorynque) à Léonie.

- Rooh oui bah toi t'es pas rentré tard, dit Léonie en essayant de leur faire comprendre qu'elle était partit dans la soirée.

Pas de réponse. Ils ont du remarquer que j'étais partit quand même, j'étais partit pendant quelques heures et j'ai l'impression que ça ne leur ai rien fait, pensa Léonie.

 

[Voir la suite demain, là je suis trop fatiguée pour continuer]

 


Commentaires

 

1. calie  le 16-05-2008 à 22:19:07  (site)

Ah ! je reviens demain lire la suite
Bonne soirée
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