Allongée. Voyant le ciel. L'herbe qui lui gratte le dos.
Elle se lève. Elle regarde autour d'elle. Elle ne voit que ce long champs, interminable et ce beau ciel bleu.
"Elle" est une jeune de fille qui s'apelle Léonie de quinze ans. Elle n'a pas de raison particulière d'être dans ce champs. Mais elle voulait partir, loin. Ayant marre de cet Ornithorynque qui la suivait partout. Marre de ces "vieux" qui lui disait qu'elle n'était jamais assez "grande". C'était ici son refuge. Ici où elle pouvait respirer. C'est un peu une fille "tête en l'air". Une fille qui rêve de sa vie, au lieu de vivre son rêve. Quelqu'un jamais trop sûr d'elle même, souvent en train de se plaindre. Elle avait une famille un peu trop strict et "noble" à son gout. Surtout ses parents, elle les appelait : Mes Bourgeois Pète 'couilles.
Le soleil se couchait, mais elle ne voulait pas rentrer. Elle voulait rester encore un peu pour voir si ses parents s'inquiétaient pour elle. Elle entendait des bruits, elle avait l'impression qu'on la regardait. Elle se sentait de moins en moins en sécurité. Il faisait presque noir. Elle préférait rentrer.
Elle se mit à marcher vers sa maison. Elle avait froid. Elle se retournait toutes les cinq minutes pour voir si quelqu'un la suivait. Elle chantait pour se réconforter. Elle est arrivé sur la route. Ouf, soulagé, encore 600 mètres et elle sera dans son lit tout chaud. Elle pensa soudain, imagine mes parents on laissés la porte de la maison fermé? Ou qu'ils ont appelés la Police? Non c'est pas possible "L'ornithorynque" leurs aurait dit où je suis. Elle le connait ELLE mon refuge.
Arrivée devant chez elle, elle tourne la poignée de la porte... Elle était fermée ! Oh non. Elle comment à s'inquiéter. Elle passe par les buissons pour aller derrière sa maison. Sa fenêtre est ouverte! Elle grimpe le mur en s'aidant des fenêtres et du balcons sur le deuxième étage. Elle pousse la fenêtre ouverte et elle entre. Ouf. Elle la ferme. Elle écoute si elle entend quelqu'un se lever. Non c'est bon. Elle se met en pijama et elle se met au chaud sous ses couvertures. Ah enfin du chaud. Elle ferme ses yeux et elle s'endort.
Un beau matin, un beau soleil. Il y a quelqu'un qui frappe à sa porte. Ses yeux un peu fatigués elle ouvre sa porte. C'était sa mère.
- Il est 10h30, dit sa mère. On t'attends tous pour déjeuner. Passe toi de l'eau sur la figure et descend.
Elle ferma la porte.
Léonie n'eut même pas le temps de dire un mot. Sa mère ne lui a rien dit pour hier soir! Peut-être qu'elle va m'en parler quand on prendra le petit-déjeuner. Oui sûrement, ils ont dû remarquer quand même qu'elle était partit, pensa Léonie en se réconfortant.
Elle descenda. Un peu fatiguée.
- B'jour, dit Léonie à sa famille.
- Ah bah enfin. On t'as attendu depuis 10h ce matin, répondit sa soeur, Paoline (L'ornithorynque) à Léonie.
- Rooh oui bah toi t'es pas rentré tard, dit Léonie en essayant de leur faire comprendre qu'elle était partit dans la soirée.
Pas de réponse. Ils ont du remarquer que j'étais partit quand même, j'étais partit pendant quelques heures et j'ai l'impression que ça ne leur ai rien fait, pensa Léonie.
[Voir la suite demain, là je suis trop fatiguée pour continuer]
Commentaires
Ah ! je reviens demain lire la suite
Bonne soirée